ÉLIMINEZ CE QUI EST PASSÉ
Plusieurs jours avant leur célébration du Nouvel An, beaucoup de familles chinoises font un grand ménage dans leur maison. Voici d’ailleurs un adage cantonais : « Déloge la saleté au ninyabaat » (28e jour du 12e mois). Elles adhèrent à cette tradition parce qu’elles croient ainsi balayer la malchance de l’année précédente et préparer leur maison à l’arrivée de la chance.
TOUTEFOIS, JE VEUX ME RÉJOUIR
Dans notre monde, la vie peut être difficile. À un moment donné, la plupart d’entre nous se sont demandé : Où est Dieu quand j’ai des ennuis ? Et il se peut qu’ils se soient dit : On dirait que l’injustice a le dessus et que Dieu garde le silence. Nous avons le choix quant à notre façon de réagir aux difficultés. Le prophète Habakuk avait une attitude digne d’être imitée : il a choisi de se réjouir.
TOUJOURS EN DEVOIR
Tandis que mes enfants jetaient leurs ordures après avoir mangé dans la partie restauration d’un centre commercial, mon aîné s’est presque fait renverser par un homme manifestement en mission. Mon cadet lui a dit à la blague : « Peut-être qu’il a volé quelque chose. » Croyant pouvoir utiliser cet incident pour enseigner une leçon, j’ai répliqué : « C’est ce que la Bible appelle juger. » Il m’a alors demandé, avec le sourire : « Pourquoi ne cesses-tu de me ‘‘paître’’ ? » Après avoir cessé de rire, j’ai dit à mes fils que je ne pourrai jamais prendre congé de mon devoir de les paître.
ATTENTION !
Pour enseigner à des caissiers de banque à reconnaître les billets contrefaits, les agents du FBI leur montrent du faux argent et du vrai argent, et leur font examiner les deux. Pour détecter une contrefaçon, ils doivent rechercher les différences entre le billet authentique et celui qui est contrefait, et non les similitudes.
TOLÉRANCE ZÉRO
Lorsque Shayla McKnight a postulé dans une imprimerie cybernétique, elle a été surprise d’apprendre que l’employeur avait adopté une politique de tolérance zéro en matière de calomnies. Les employés sont encouragés à se dire les vraies choses, au lieu de se calomnier entre eux. Si un employé est pris en flagrant délit de calomnie, il se fera réprimander et, s’il persiste, il sera congédié.
LE DIEU OUBLIÉ
Lorsque nous citons le Credo des apôtres, nous disons : « Je crois au Saint-Esprit ». L’auteur J. B. Phillips a dit : « Chaque fois que nous [le] disons, nous affirmons croire que [l’Esprit] est un Dieu vivant étant capable et désireux de pénétrer la personnalité humaine et de la changer. »
TROUVEZ LE LIVRE
Un dimanche, à l’Église dont je suis le pasteur, j’ai invité trois enfants à trouver plusieurs rouleaux sur lesquels avaient été écrits des versets bibliques et que j’avais cachés dans notre sanctuaire. Je leur ai dit qu’une fois qu’ils les auraient trouvés et lus à voix haute, je leur remettrais un prix. Vous auriez dû les voir ! Ils couraient, déplaçaient des chaises et regardaient sous les plantes et dans les sacs à main (avec la permission des propriétaires). Leur recherche était intense, mais exaltante. Leur recherche zélée et leur découverte subséquente des rouleaux ont suscité de la joie chez les enfants, des encouragements de la part de l’assemblée et un sentiment renouvelé de l’importance de la Parole de Dieu.
LES SAINTS
Ce n’est probablement pas un nom que nous nous donnerions, mais l’apôtre Paul a souvent désigné les croyants par le nom « saints » dans le Nouveau Testament (Ép 1.1 ; Col 1.2). Leur donnait-il le nom de saints parce qu’ils étaient parfaits ? Étant humains, ces gens étaient donc des pécheurs. À quoi pensait-il alors ? Dans le Nouveau Testament, le mot saint désigne la personne que Dieu a mise à part pour lui-même. Il décrit les gens qui sont en union spirituelle avec Christ (Ép 1.3-6). Ce mot évoque chaque croyant en Jésus (Ro 8.27) et ceux qui composent l’Église (Ac 9.32).
FAIRE LE BIEN
Quelqu’un a dit un jour : « Le bien que tu fais aujourd’hui sera oublié demain. Fais quand même le bien. » Cet excellent rappel me plaît. Dans le livre des Actes, Luc a résumé le ministère terrestre de Jésus en disant que ce dernier « allait de lieu en lieu faisant du bien » (10.38).
POUR LE DIEU QUE J’AIME
Il y a quelques années, dans notre Église, nous avons donné une série de sermons portant sur le tabernacle de l’Ancien Testament. Me préparant à amener le sujet de la table des pains de proposition, j’ai fait quelque chose que je n’avais jamais fait auparavant : j’ai jeûné pendant plusieurs jours. Je me suis privé de nourriture parce que je voulais vivre la vérité selon laquelle « l’homme ne vit pas de pain seulement, mais que l’homme vit de tout ce qui sort de la bouche de l’Éternel » (De 8.3). Je voulais me priver de quelque chose que j’aimais, de la nourriture, au profit du Dieu que j’aime plus. En jeûnant, j’ai suivi les enseignements de Jésus au sujet du jeûne dans Matthieu 6.16-18.