OUVRIR NOTRE MAISON
Dans son livre intitulé Outlive Your Life (Vis ta vie jusqu’au bout), Max Lucado écrit : « L’hospitalité ouvre la porte à une communauté rare. Il n’y a rien d’accidentel dans le fait que les mots hospitalité et hôpital proviennent du même mot latin, car ils produisent tous les deux le même résultat : la guérison. Lorsque l’on ouvre la porte à quelqu’un, on lui envoie le message suivant : ‘‘Tu comptes pour moi et pour Dieu.’’ Il se peut que vous ayez l’impression de lui dire : ‘‘Viens faire un tour’’, mais ce que votre invité entend, c’est : ‘‘Je vaux la peine.’’ »
DES GENS BIEN
En juin 2011, lorsqu’une terrible inondation a chassé de leurs demeures les résidants de Minot, au Dakota du Nord, les gens de cette collectivité ont fait ce qui semblait leur venir naturellement : ils sont venus en aide à d’autres sinistrés. Sans même se le faire demander, des gens vivant à plus d’une heure de route de là sont venus leur prêter secours. Certaines personnes ont loué leur caravane à ceux qui avaient perdu leur maison et d’autres ont permis que leur garage serve de remise temporaire. Les gens du Dakota du Nord ont ainsi démontré ce que signifie être un bon prochain.
REFUSER TOUTE DISSIMULATION
L’odeur qui se dégageait d’une décharge publique débordante inquiétait de plus en plus la population, si bien que des travailleurs ont installé des canons déodorants à haute pression afin de la masquer. Ces canons vaporisaient plusieurs gallons de fragrance la minute sur une distance allant jusqu’à 46 m au-dessus des monticules d’ordures en putréfaction. Peu importe combien de gallons de déodorant étaient vaporisés pour masquer l’odeur nauséabonde, cette fragrance ne pouvait toutefois que la masquer jusqu’à ce que la source de cette puanteur soit éliminée.
CONVERSATION COURAGEUSE
Se peut-il que des percées technologiques en matière de communications nous empêchent de faire face aux gens correctement ? Après tout, les employeurs peuvent maintenant envoyer un avis de licenciement par Internet. Les gens peuvent critiquer les autres sur Facebook et Twitter au lieu de leur parler de vive voix. Peut-être vaudrait-il mieux mettre tout cela de côté et imiter Paul dans la manière dont il a communiqué avec Pierre lorsqu’ils ont eu un différend.
APPELÉ D’UN AUTRE NOM
Dans l’article intitulé « Leading by Naming » (Diriger en nommant), Mark Labberton a écrit au sujet du pouvoir d’un nom. Il a dit : « Je ressens encore l’incidence qu’a eu sur moi le fait qu’un ami musicien m’a qualifié de ‘‘musical’’. Personne ne m’avait jamais appelé ainsi. Je ne jouais pas vraiment d’un instrument. Je n’étais pas soliste. Pourtant…, je me suis instantanément senti reconnu et aimé. […] [Il] a remarqué, validé et aimé quelque chose de profondément vrai à mon sujet. »
CE QU’IL Y A DE VRAI
Les membres d’une Église de Naperville, dans l’Illinois, se réjouissent de l’installation de ses nouvelles cloches dans le clocher au-dessus de son sanctuaire. Lors de la construction de l’église, il y a plusieurs années, ils n’avaient pas les moyens de s’acheter des cloches. Lors de son 25e anniversaire, ils ont pu amasser les fonds nécessaires pour suspendre trois cloches dans l’espace vide. Même si elles sont magnifiques, il y a un problème : la congrégation ne les entendra jamais sonner, car bien qu’elles puissent passer pour vraies, elles sont fausses.
CÉLÉBREZ LES FRUITS
Il est facile de devenir critique envers les gens dont la croissance spirituelle n’est pas conforme à nos attentes. Nous pouvons facilement repérer chez eux des choses à corriger, mais nous devons également remarquer ce qui va bien. Dans ses épîtres, Paul a dû souvent corriger des Églises, mais il a aussi célébré ce qu’il y trouvait de bien.
ÉLIMINEZ CE QUI EST PASSÉ
Plusieurs jours avant leur célébration du Nouvel An, beaucoup de familles chinoises font un grand ménage dans leur maison. Voici d’ailleurs un adage cantonais : « Déloge la saleté au ninyabaat » (28e jour du 12e mois). Elles adhèrent à cette tradition parce qu’elles croient ainsi balayer la malchance de l’année précédente et préparer leur maison à l’arrivée de la chance.
TOUTEFOIS, JE VEUX ME RÉJOUIR
Dans notre monde, la vie peut être difficile. À un moment donné, la plupart d’entre nous se sont demandé : Où est Dieu quand j’ai des ennuis ? Et il se peut qu’ils se soient dit : On dirait que l’injustice a le dessus et que Dieu garde le silence. Nous avons le choix quant à notre façon de réagir aux difficultés. Le prophète Habakuk avait une attitude digne d’être imitée : il a choisi de se réjouir.
TOUJOURS EN DEVOIR
Tandis que mes enfants jetaient leurs ordures après avoir mangé dans la partie restauration d’un centre commercial, mon aîné s’est presque fait renverser par un homme manifestement en mission. Mon cadet lui a dit à la blague : « Peut-être qu’il a volé quelque chose. » Croyant pouvoir utiliser cet incident pour enseigner une leçon, j’ai répliqué : « C’est ce que la Bible appelle juger. » Il m’a alors demandé, avec le sourire : « Pourquoi ne cesses-tu de me ‘‘paître’’ ? » Après avoir cessé de rire, j’ai dit à mes fils que je ne pourrai jamais prendre congé de mon devoir de les paître.