CONVERSATION COURAGEUSE
Se peut-il que des percées technologiques en matière de communications nous empêchent de faire face aux gens correctement ? Après tout, les employeurs peuvent maintenant envoyer un avis de licenciement par Internet. Les gens peuvent critiquer les autres sur Facebook et Twitter au lieu de leur parler de vive voix. Peut-être vaudrait-il mieux mettre tout cela de côté et imiter Paul dans la manière dont il a communiqué avec Pierre lorsqu’ils ont eu un différend.
APPELÉ D’UN AUTRE NOM
Dans l’article intitulé « Leading by Naming » (Diriger en nommant), Mark Labberton a écrit au sujet du pouvoir d’un nom. Il a dit : « Je ressens encore l’incidence qu’a eu sur moi le fait qu’un ami musicien m’a qualifié de ‘‘musical’’. Personne ne m’avait jamais appelé ainsi. Je ne jouais pas vraiment d’un instrument. Je n’étais pas soliste. Pourtant…, je me suis instantanément senti reconnu et aimé. […] [Il] a remarqué, validé et aimé quelque chose de profondément vrai à mon sujet. »
CE QU’IL Y A DE VRAI
Les membres d’une Église de Naperville, dans l’Illinois, se réjouissent de l’installation de ses nouvelles cloches dans le clocher au-dessus de son sanctuaire. Lors de la construction de l’église, il y a plusieurs années, ils n’avaient pas les moyens de s’acheter des cloches. Lors de son 25e anniversaire, ils ont pu amasser les fonds nécessaires pour suspendre trois cloches dans l’espace vide. Même si elles sont magnifiques, il y a un problème : la congrégation ne les entendra jamais sonner, car bien qu’elles puissent passer pour vraies, elles sont fausses.
CÉLÉBREZ LES FRUITS
Il est facile de devenir critique envers les gens dont la croissance spirituelle n’est pas conforme à nos attentes. Nous pouvons facilement repérer chez eux des choses à corriger, mais nous devons également remarquer ce qui va bien. Dans ses épîtres, Paul a dû souvent corriger des Églises, mais il a aussi célébré ce qu’il y trouvait de bien.
ÉLIMINEZ CE QUI EST PASSÉ
Plusieurs jours avant leur célébration du Nouvel An, beaucoup de familles chinoises font un grand ménage dans leur maison. Voici d’ailleurs un adage cantonais : « Déloge la saleté au ninyabaat » (28e jour du 12e mois). Elles adhèrent à cette tradition parce qu’elles croient ainsi balayer la malchance de l’année précédente et préparer leur maison à l’arrivée de la chance.
TOUTEFOIS, JE VEUX ME RÉJOUIR
Dans notre monde, la vie peut être difficile. À un moment donné, la plupart d’entre nous se sont demandé : Où est Dieu quand j’ai des ennuis ? Et il se peut qu’ils se soient dit : On dirait que l’injustice a le dessus et que Dieu garde le silence. Nous avons le choix quant à notre façon de réagir aux difficultés. Le prophète Habakuk avait une attitude digne d’être imitée : il a choisi de se réjouir.
TOUJOURS EN DEVOIR
Tandis que mes enfants jetaient leurs ordures après avoir mangé dans la partie restauration d’un centre commercial, mon aîné s’est presque fait renverser par un homme manifestement en mission. Mon cadet lui a dit à la blague : « Peut-être qu’il a volé quelque chose. » Croyant pouvoir utiliser cet incident pour enseigner une leçon, j’ai répliqué : « C’est ce que la Bible appelle juger. » Il m’a alors demandé, avec le sourire : « Pourquoi ne cesses-tu de me ‘‘paître’’ ? » Après avoir cessé de rire, j’ai dit à mes fils que je ne pourrai jamais prendre congé de mon devoir de les paître.
ATTENTION !
Pour enseigner à des caissiers de banque à reconnaître les billets contrefaits, les agents du FBI leur montrent du faux argent et du vrai argent, et leur font examiner les deux. Pour détecter une contrefaçon, ils doivent rechercher les différences entre le billet authentique et celui qui est contrefait, et non les similitudes.
TOLÉRANCE ZÉRO
Lorsque Shayla McKnight a postulé dans une imprimerie cybernétique, elle a été surprise d’apprendre que l’employeur avait adopté une politique de tolérance zéro en matière de calomnies. Les employés sont encouragés à se dire les vraies choses, au lieu de se calomnier entre eux. Si un employé est pris en flagrant délit de calomnie, il se fera réprimander et, s’il persiste, il sera congédié.
LE DIEU OUBLIÉ
Lorsque nous citons le Credo des apôtres, nous disons : « Je crois au Saint-Esprit ». L’auteur J. B. Phillips a dit : « Chaque fois que nous [le] disons, nous affirmons croire que [l’Esprit] est un Dieu vivant étant capable et désireux de pénétrer la personnalité humaine et de la changer. »